Barbara
JEAN-ELIE
Élections législatives
11 & 18 Juin 2022
La volonté d'agir
pour la Martinique
Barbara JEAN-ELIE
Jacques-Olivier CLAVER
Suppléant
à propos d'elle
Barbara JEAN-ELIE
J’ai décidé de me présenter aux élections législatives des 11 et 18 juin 2022 (2ème circonscription – Nord), parce je crois qu’une députée sincère, active, indépendante et passionnée peut contribuer à changer notre quotidien et redonner de l’espoir en l’avenir.
Je n’ai aucun mandat électoral, je suis donc disponible pour représenter la Martinique et la défendre à l’Assemblée Nationale, voter les lois qui nous concernent toutes et tous.
Avec Jacques-Olivier CLAVER, un jeune étudiant engagé, nous voulons agir pour une Martinique qui retrouve confiance en elle-même, en ses enfants et en son avenir.
LA VOLONTÉ D’AGIR POUR LA MARTINIQUE
Nous voulons agir pour une Martinique qui affirme avec force des valeurs qu’on dit perdues : la solidarité, le travail et le respect.
Une Martinique où l’éducation, les enfants, la formation, la création seraient enfin considérés comme essentiels, où l’égalité entre les hommes et les femmes serait prioritaire.
Une Martinique qui donne sa chance à tous et qui respecte chacun : étudiant.es, salarié.es, personnes sans emploi, agricultrices et agriculteurs, gens de la mer, artisans, artistes, chef.fes d’entreprises, personnes âgées.
Nous voulons une Martinique dans l’action, émancipée et libre.
S'engager avec Barbara JEAN-ELIE
Jacques-Olivier CLAVER
Pourquoi je souhaite m’engager ? Pourquoi s’engager en politique est important ?
La réponse est simple. Je pense que s’engager en politique quand on est jeune est une très belle expérience. Il est urgent pour moi de travailler sur un système plus juste. De nos jours, je pense que la solidarité est une valeur fondamentale. Depuis 2 ans, je m’intéresse à la politique.
J’ai pris conscience que chaque décision prise par nos élus locaux a des répercussions directes sur nous population martiniquaise. J’adhère à un projet qui valorise la transition écologique, l’entrepreneuriat et le bien-vivre ensemble. Je veux m’impliquer dans la vie politique de mon île. En effet, on doit s’efforcer de réinventer la politique en délaissant les pratiques archaïques. De plus, j’ai l’intime conviction que nous devons nous battre pour conserver nos droits et en obtenir de nouveaux.
Je constate de nombreuses défaillances dans les choix faits par nos élus locaux. La politique a une très grande importance dans notre société. Les avis et les remarques de la population doivent être entendus par l’État. Il est primordial pour moi d’apporter une nouvelle jeunesse à la scène politique locale. Mon objectif est de favoriser l’ancrage territorial de nos jeunes.
Ne soyons plus spectateurs, mais plutôt acteurs de notre avenir.
Rencontrez Barbara JEAN-ELIE
Calendrier de Campagne
Mai
13
Ajoupa-Bouillon, Réunion à la Maison du Citoyen
Vendredi 13 Mai 2022, à 18h00
Juin
9
Fin de campagne
Jeudi 9 Juin 2022, 23h59
Juin
11
Premier Tour Législatives 2022
Samedi 11 Juin 2022
Juin
18
Second Tour Législatives 2022
Samedi 18 Juin 2022
Le vote
Pourquoi il faut voter
« D’abord réservé à certaines catégories en fonction de la fortune, du sexe ou du statut, le droit de vote s’est étendu dans les sociétés occidentales. Ainsi dans la démocratie athénienne, les citoyens votaient, à l’exclusion des femmes, des esclaves et des métèques (les étrangers).
Le suffrage est demeuré censitaire très longtemps : seuls les plus fortunés étaient appelés à voter.
Il ne deviendra véritablement universel en France que sous la IIIème République… universel, mais masculin, puisque les femmes n’ont pu voter qu’à partir de 1944.
Aux Antilles et en Martinique en particulier, les esclaves étaient exclus du droit de vote. Devenus citoyens à part entière à l’abolition, ils accèdent à ce droit.
L’historien Jean Pierre Sainton souligne comment Schoelcher envisageait le droit de vote accordé aux anciens esclaves comme la clé de voute de la société « régénérée » avec la fusion des Nouveaux Libres dans un même corps social.
En ce point, il manifesta au sein de la Commission de l’abolition de mars-avril 1848 qu’il présidait, une forme d’intransigeance qui le fit s’opposer aux autres membres dont Perrinon ou Mestro. »
– Barbara JEAN-ELIE, extrait de « Pourquoi il faut voter »